La course contre le temps

Ça fait un petit moment que je n’ai rien écrit ici … plus par manque de temps qu’autre chose. Le mois de juin a été plutôt chargé, et je ne me suis jamais senti aussi actif que depuis que je ne travaille plus à horaires fixes.

Compter sur soi-même

Tout d’abord, j’ai retrouvé un job à temps partiel. Un job de community manager, c’est à dire mon métier, celui pour lequel je me suis formé. C’est une satisfaction et une immense fierté pour moi, ça signifie qu’un employeur me fait confiance, et ça renforce ma légitimité à exercer ce métier.

Ce job, je l’exerce à distance. L’entreprise est sur la Côte d’Azur, et mon bureau est … en Bretagne, dans ma chambre face à la forêt. De fait, je découvre vraiment après tout le monde les joies (et les contraintes) du télétravail. Et c’est pas si simple, surtout avec une connexion Internet qui n’est pas si terrible (encore un peu de patience et j’aurai la fibre – paraît-il).

Ça reste un job à temps partiel, c’est un choix voulu, parce que j’ai aussi la volonté de mener de front plusieurs activités, professionnelles et personnelles.

Lapin blanc

course contre le temps lapin blanc
En retard

J’ai aussi de nombreuses activités hors du cadre professionnel : préparer l’examen du code, surveiller Parcoursup pour ma fille et celle de ma chérie, participer activement à la vie de la maisonnée, m’occuper des formalités administratives, préparer mon prochain projet… bref pas mal de petites activités qui remplissent les semaines. J’ai beau être encore inscrit au chômage, c’est pas pour autant que je chôme, loin de là.



Et puis, un projet me tenait particulièrement à cœur. Ma partenaire préparait son examen de diplôme universitaire, et je me suis mis à sa disposition pour l’aider à élaborer son mémoire et son support de présentation. Nous avons donc passé de nombreuses heures à travailler ensemble autour de ce projet si important.

Le temps, c’est de l’argent

Enfin il a fallu résoudre un sérieux problème : faire rentrer des fonds. Parce que c’est bien joli tout ça, mais sans pognon, point de salut. J’ai donc commencé à prospecter, et accepter une proposition, qui en plus correspond à mes valeurs. Pour cela, il me faut ouvrir ma propre entreprise… et ça fera l’objet d’un prochain billet 😊

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